Dossier d'information Genève, ville numérique

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Cette table ronde a notamment rassemblé le Département de la Cohésion Sociale et de la Solidarité (DCSS), les Bibliothèques municipales de la ville (BMU), l’Hospice Général, l’Université Ouvrière de Genève (UOG) et l’Œuvre Suisse d’Entraide Ouvrière (OSEO). Deux expert.e.s sur le sujet issu.e.s du monde académique étaient également présent.e.s pour apporter un éclairage sur les causes de cette fracture numérique ainsi que sur les pistes à explorer pour y remédier, avec une expérience des contextes suisses et français. 

Plus de cinquante personnes se sont rassemblées pour contribuer à la compréhension du problème et proposer des solutions. 

Programme

La journée du 10 novembre s'est déroulée en plusieurs étapes:

• Inclure, c'est partager: Ouverture par M. Sami Kanaan, Conseiller administratif de la Ville de Genève en charge de la culture et de la transition numérique. 
• Table ronde "Tissons un réseau de proximité" | En présence de Pablo Ferreiro (Département de la Cohésion Sociale et de la Solidarité), Grégoire Demolliens (Hospice Général), Véronique Purro (Bibliothèques municipales de la Ville de Genève), Olivia Lamourette (Université Ouvrière de Genève - UOG), Pierre Mazet (Université de Grenoble), Béatrice Vatron-Steiner (Haute école de travail social de Fribourg) et Christian Lopez (Œuvre Suisse d’Entraide Ouvrière - OSEO). 
• Exercice de co-design | Université populaire de numérique

Le replay de la table ronde est disponible sur la chaîne youtube du Département de la culture et de la transition numérique :

Participation citoyenne

En parallèle à cette table ronde, une concertation citoyenne en ligne a été lancée par le Département de la Culture et de la Transition Numérique (DCTN). Cette concertation, disponible sur la plateforme Participer.ge, s’est axée autour de deux volets: un débat et une enquête.
Les résultats de cette consultation est disponible dans le rapport téléchargeable en bas de page. 

Cette démarche de récolte de données en ligne présente malgré tout une limite par manque de temps et de ressources : elle ne visait que les personnes ayant accès à un ordinateur, un smartphone ou une tablette, et une connexion internet. Les personnes n’ayant pas ces outils à disposition, ne disposant pas des compétences nécessaires pour remplir un sondage en ligne, ou ne parlant pas le français seront consultées par des ateliers en présentiel en 2022.