Vous visualisez une version traduite automatiquement de notre site. Certaines traductions peuvent contenir des erreurs et la version française du site fait foi. Nous vous remercions de votre indulgence et vous souhaitons une bonne visite.
La réponse a été mise à jour le 28 novembre 2024.
Bonjour,
Nous vous remercions d'avoir fait appel au service Interroge, voici le résultat de nos recherches :
Nous trouvons une première mention du bar/dancing le « Musicol » au 5 rue de Richemont, dans le Journal de Genève du 4 août 1980 annonçant jusqu’à décembre 1980 la présence d'Abe Janssens, pianiste de jazz tous le soirs, à 21h.
Plus de 10 ans plus tard, le 30 mai 1992, le journal Le Nouveau Quotidien publie un court article intitulé Les alternatifs du sexe décrivant cet établissement comme suit :
« MUSICOL, 5, rue Richemont.
Installée aux Pâquis, Musicol est la boîte gay qui a la clientèle la plus jeune de Genève. Dans une ambiance feutrée - moquette et fauteuils rembourrés - des étudiants viennent y draguer leurs aînés ou y retrouver leur amoureux. L’entrée est souvent gratuite sauf pour les spectacles de début de semaine avec, parfois, des travestis. Pas besoin de carte de membre donc, ni de cravate pour une ambiance détendue qui se chauffe aux rythmes techno ou house. »
Il apparait ensuite sous le nom « Le Musicol », comme nous pouvons le lire dans Le Nouveau Quotidien du 13 août 1992.
Dans l’article Danser, boire et manger, le jour et la nuit. Genève innove publié le 8 avril 1994 dans le journal Le Nouveau Quotidien nous apprenions le déménagement de cet établissement :
« Niché dans une rue sombre du quartier populaire des Pâquis, le Musicol était depuis quatorze ans le principale bar-dancing fait par et pour les homosexuels à Genève. Depuis le 1er mars, cet étroit boyau où les garçons jouaient des coudes entre le bar et la mini-piste de danse a déménagé au quai du Seujet, sur la rive droite du Rhône, dans un espace impressionnant de 400 mètres carrés.
Une vaste salle habillée de tentures rouges où trône la statue de bronze d’un bel éphèbe, un mobilier façon années cinquante, deux coins salon, une partie bistrot, un bar spacieux et un billard dans le fond : le Loft s’est donné des allures somptueuses. »
Nous espérons que ces éléments vous aideront dans votre recherche. N'hésitez pas à nous recontacter pour tout complément d'information ou toute autre question.
Cordialement,
www.interroge.ch
Service de référence en ligne des bibliothèques de la Ville de Genève
Le contenu de cette réponse pouvant devenir obsolète, nous attirons particulièrement votre attention sur sa date de publication.
