Vous visualisez une version traduite automatiquement de notre site. Certaines traductions peuvent contenir des erreurs et la version française du site fait foi. Nous vous remercions de votre indulgence et vous souhaitons une bonne visite.
La réponse a été mise à jour le 30 septembre 2024.
Bonjour,
Nous vous remercions d'avoir fait appel au service Interroge, voici le résultat de nos recherches :
Comme l’indique la Radio télévision suisse (RTS) dans l'article du 28 mars 2021, La Ville de Genève ramasse et recycle les carcasses de vélo :
« Une nouvelle initiative entre la Ville de Genève et la coopérative Péclôt 13 propose de débarrasser les carcasses de vélos qui s’amoncellent sur l’espace public. Ces derniers sont ensuite recyclés, réparés et revendus. »
Cet article nous apprend que « "La police municipale s’occupe de répertorier les carcasses, qui sont ensuite ramassées par la voirie. Péclôt 13 se charge du recyclage et de la réparation des vélos".
Pour la politicienne [Marie Barbey-Chappuis], l’objectif est triple : "D’abord rendre la ville plus propre en débarrassant les carcasses. Cela permet aussi de sécuriser l’espace public car certaines épaves ont des pièces qui sont rouillées et tranchantes, ce qui peut représenter un danger. Enfin, avec le ramassage, on libère l’espace public pour les cyclistes actifs". »
Vous pouvez lire l’intégralité de cet article et visionner le reportage de la RTS pour voir ce processus en détail.
La réponse du Conseil administratif du 26 juillet 2023 à la motion du 30 mars 2021 (M-1611) «Redonnons la vie à nos vélos: identification pour réutiliser et recycler» ajoutait ceci :
« S’agissant des vélos épaves, la Ville de Genève a, comme indiqué dans la réponse du Conseil administratif à la question écrite QE-562, signé une convention avec Péclôt 13 en janvier 2021. Selon la convention, la police municipale identifie les épaves sur le domaine public. Une fois par mois, le Service logistique et manifestations (LOM) est appelé pour des opérations de ramassage de ces vélos. Le LOM achemine ensuite les épaves à l’association Péclôt 13, dont la responsabilité est de revaloriser l’épave. Lorsqu’un vélo épave ne peut pas être revalorisé, Péclôt 13 est responsable de la déconstruction de ladite épave.
Depuis la signature de cette convention en 2021, 2457 épaves ont été enlevées sur le territoire de la Ville de Genève. »
Si par hasard un vélo non abandonné est tout de même débarrassé, la page Récupérer un vélo mis en fourrière sur le site de la Ville de Genève indique comment le récupérer.
Enfin, cette tâche de voirie est à la charge des communes. Ceci est l’exemple de la Ville de Genève. Pour savoir comment les autres communes du canton procèdent n’hésitez pas à les contacter directement.
Nous espérons que ces éléments vous aideront dans votre recherche. N'hésitez pas à nous recontacter pour tout complément d'information ou toute autre question.
Cordialement,
www.interroge.ch
Service de référence en ligne des bibliothèques de la Ville de Genève