S'adressant au milieu culturel genevois, cette page présente une série de recommandations, de pistes et d'outils en faveur de la réduction de l'empreinte carbone des activités dans le domaine culturel.
Dans ses chartes et conventions de subventionnement, la Ville de Genève encourage fortement les acteurs, actrices et institutions culturelles à poursuivre une démarche éco-responsable dans leur travail.
Cette page a été élaborée dans le but d’amener des pistes de marches à suivre et d’outils en faveur de la transition climatique et environnementale, et pour une réduction de l’empreinte carbone des activités dans le domaine culturel. Les propositions et recommandations sont volontairement larges pour laisser libre champ aux diverses institutions, acteurs et actrices subventionnées de se les approprier et de les adapter à leurs pratiques.
Faire un état des lieux
Pour que les actions et les efforts entrepris par l’association ou l’organisation soient efficaces, il s’agit de commencer par faire un état des lieux des principaux secteurs qui ont un impact sur l’environnement (énergie, mobilité, alimentation, biens de consommation). Cela s’appelle un bilan carbone (de nombreuses structures culturelles en ont fait, des synthèses sont souvent accessible sur le net et démontrent que ce sont souvent les mêmes secteurs qui posent problème), et il existe plusieurs outils pour en réaliser un si besoin. Cette évaluation chiffrée permet de déterminer les actions les plus impactantes à mettre en place et de suivre l’évolution de ces mesures au fil des ans.
La Ville de Genève peut vous aiguiller vers des prestataires spécialisés dans les bilans carbones.
Calculateur genevois d'empreinte carbone individuelle
Le Canton de Genève, la Ville de Genève et 2050Today - forum d’action climatique de la Genève internationale – ont lancé le premier calculateur genevois d'empreinte carbone individuelle, adapté de l'outil open source de l'Agence française de la transition écologique (ADEME) "Nos Gestes Climat".
Cet outil permet de mesurer son impact individuel uniquement, mais c’est un très bon exercice pour prendre conscience des secteurs impliqués dans une évaluation d’empreinte carbone.
Boussole 21
Cet outil d’évaluation du développement durable permet d’estimer si un projet participe au développement durable dans ses trois dimensions environnement, économie et société. Comme base de décision, la Boussole 21 donne une vue d’ensemble des effets d’un projet, facilitant ainsi la pesée des intérêts et aidant à l'améliorer.
Plateforme Les Bonnes Pratiques
La plateforme Les Bonnes Pratiques est un projet conjoint de l’Association des Compagnies Vaudoises et du Syndicat Suisse Romand du Spectacle proposant un processus d’autoévaluation.
Les questions interrogent les projets sous l’angle des conditions de travail, de l’écologie, de la gouvernance, de la santé et de l’égalité, en accord avec les Objectifs de Développement Durable développés par l’ONU et l’Agenda 2030.
Manifestation-Verte - Plateforme pour des événements sportifs et culturels durables
MANIFESTATION-VERTE.CH est une plateforme gratuite pour les organisateurs, les autorités délivrant des autorisations et les sponsors. Le site offre des recommandations et des outils visant à organiser un événement de manière durable. Outre les principales recommandations, la plateforme contient l'outil ProfilEVENT, avec lequel les organisateurs peuvent planifier, évaluer et communiquer les mesures de durabilité pour leur manifestation.
> Consulter la plateforme Manifestation-Verte.ch
«KITmanif» - Plateforme pour les manifestations responsables
La plateforme internet KITmanif a été développée par l'Office cantonal vaudois de la durabilité et du climat, par l'Unité de développement durable de la Ville de Lausanne. Elle favorise l’organisation d’événements garantis responsables et durables et apporte à la fois solutions et ressources pour toutes les étapes de l'organisation d'une manifestation (planification, déroulement et démantèlement).
La plateforme propose des fiches thématiques, et permet de créer gratuitement son «kit» personnalisé et transmissible, selon le profil de son événement.
SEEDS - calculateur d'empreinte environnementale pour les arts vivants
Proposé par Arviva, et financé par l'ADEME, la Région Île-de-France, l’État français et l'Union Européenne, SEEDS est un outil de Simulation d'Empreinte Environnementale pour le Spectacle (SEEDS). Il a été pensé pour être simple d’utilisation et adapté aux activités des structures du spectacle vivant (compagnies, lieux, festivals) et à leurs activités diverses (création, production, diffusion notamment). Basé sur des chiffres et des données de calculs français, cet outil permet néanmoins de prendre conscience la nature des impacts de son activité (mobilité, énergie, alimentation, fret, etc..) et propose des actions.
Rapport "Décarbonons la culture" du Shift Project
Le rapport du think tank Shift Project, "Décarbonons la culture" dresse un état des lieux sur la période 2020-2021, de l’impact climatique et de la dépendance aux énergies fossiles de la culture en France. Il a été pensé comme un guide pour l’action à destination des professionnelles et professionnels du secteur.
Agirageneve
La Ville et le Canton de Genève soutiennent le développement de la plateforme "agirageneve", créée par l'association Goodtrack, qui propose conseils, pistes, bonnes adresses et forum d’échange pour expérimenter des actions permettant de réduire ses émissions.
Conseils pratiques de ZeroWaste Switzerland
Le site Zerowasteswitzerland.ch donne également des conseils pratiques pour les particuliers et les entreprises qui souhaitent s'investir dans une démarche Zéro Déchets.
Soutien ponctuel pour organisations à but non lucratif
Le service Agenda 21 offre un dispositif de soutien ponctuel pour les organisations à but non lucratif. Ce dispositif permet de:
- soutenir la réalisation d’un projet spécifique;
- soutenir la mise en œuvre d’une activité particulière;
- contribuer ponctuellement au fonctionnement de l’organisation requérante en lien avec la thématique de la promotion d’une économie locale et durable.
Soutien "Organisation et urgence climatique"
Depuis 2024, les services Agenda 21, service des sports et service culturel gèrent conjointement le dispositif de soutien "Organisation et urgence climatique".
Cette ligne de subvention est destinée en priorité à des structures déjà subventionnées par la Ville, qui souhaitent modifier à moyen ou long terme, leur fonctionnement afin de le rendre plus durable.
S’inscrivant dans une réflexion de fond d’une structure sur son activité ou sur ses prestations, les projets doivent apporter des changements structurels, organisationnels et ou fonctionnels.
Programme éco21 de SIG
Le programme éco21 de SIG propose un accompagnement pour réduire les consommations d'énergie grâce à des solutions simples, rapides et concrètes, incluant des aides financières.
Elaborer une stratégie de mise en œuvre par axes stratégiques
Une fois un état des lieux réalisé, il est conseillé d’élaborer une stratégie destinée à identifier les solutions les plus adaptées à son activité, ses ressources et ses missions.
Nous conseillons d’organiser ses actions par axes stratégiques, afin de prioriser les mesures à prendre et d’avoir une meilleure vue d’ensemble (les mesures sont souvent interdépendantes, et cette organisation par axes permet un meilleur suivi).
Ces mesures sont regroupées par axes stratégiques, ici nous faisons le choix de présenter six axes:
En Suisse, la mobilité est une source très importante d'émissions de CO2.
En 2020, les émissions de CO2 provenant des transports (sans le transport aérien) s'élèvent à 13,4 millions de tonnes, ce qui correspond à près de 40% des émissions nationales totales.
L'impact CO2 du transport aérien est également très important. En 2019, le transport aérien était responsable à lui seul de 11% des émissions de CO2 en Suisse.
Le domaine de la culture est très concerné par ces questions de mobilité, que ce soit pour la mobilité des publics, mais aussi pour celle des œuvres et des artistes.
Exemples d'actions en matière de mobilité
- Fournir des solutions innovantes visant à limiter l'impact de la mobilité, pour ses employé-e-s, et pour les publics:
- communiquer sur les réseaux de transports publics, les trajets sécurisés pour la marche et le vélo,
- participer aux frais de transports publics pour ses employé-e-s et le public.
- Pour les projets ponctuels, favoriser un lieu de production accessible en transports publics et organiser des navettes si tel n’est pas le cas.
- Favoriser les productions d’œuvres et de spectacles minimisant les transports, porter une réflexion et une attention sur la manière de rationaliser les déplacements lors des tournées et privilégier les modes de transports terrestres collectifs et à basse émission de CO2 (train et train de nuit -vs- avion, mini-van et auto-partage -vs- voitures individuelles etc.).
Favoriser la durée de vie des productions et des œuvres, en valorisant les reprises, en augmentant le nombre de représentations par lieu.
>> Consultez le dossier sur la mobilité et le transport en Ville de Genève
L’alimentation représente un levier important pour baisser nos émissions de gaz à effet de serre et protéger le climat. Elle représente 28% de l’impact environnemental de la consommation en Suisse, devant le logement (24%).
Parmi les différents aliments présents dans nos assiettes, c’est la viande rouge qui a le plus gros impact environnemental. Sa production demande beaucoup de surfaces de terre pour le fourrage, d'eau et d'énergie.
En moyenne, les personnes vivant en Suisse consomment environ un kilo de viande et de charcuterie par semaine. La pyramide alimentaire suisse recommande une consommation de 100 grammes de viande quelques jours par semaine. Un plat végétarien a 3 fois moins d’impact sur le climat qu’un plat à base de viande, et participe à améliorer notre santé.
Exemples d'actions en matière d'alimentation
- Appliquer, dans la mesure du possible, les principes de la Charte sur l’alimentation durable de la Ville de Genève pour adapter l’offre des buvettes et bars, et du catering des équipes et des artistes.
- Réduire l’offre de plat à base de viande en particulier de viande rouge et diversifier les propositions.
- S’approvisionner en produits locaux et de saison et favoriser l’économie de proximité. Consulter le répertoire des bonnes adresses pour consommer local.
- Promouvoir une alimentation saine et équilibrée sur le plan nutritionnel.
- Prévenir le gaspillage alimentaire en faisant appel à des structures de récupération (comme Too Good To Go et les Free-go).
- Réduire les emballages alimentaires, et inciter les fournisseurs à conditionner leurs produits dans des emballages récupérables.
Les biens et services divers (électroménagers, meubles, informatique, téléphonie, etc.) émettent également d'importantes quantités de CO2e. Deux phénomènes croissants expliquent l’importance des émissions de ce secteur: l’hyperconsommation et l’obsolescence programmée.
La Ville de Genève choisit d’agir principalement sur les modes de consommation en soutenant la sobriété, le partage, le recyclage, le réemploi et plus largement l’économie circulaire.
L’économie circulaire nécessite un changement de pratique, et se caractérise par une utilisation des matières premières efficace et sur une durée aussi longue que possible. La valeur des produits est maintenue plus longtemps et il y a moins de déchets.
Matériel de scénographie
Le SEC a mandaté l’équipe du studio TEC, un studio de design et scénographie engagé dans une démarche durable et circulaire de réemploi des matériaux à Genève pour réaliser un guide de bonnes pratiques pour la mutualisation et le réemploi d’éléments de scénographie. Ce guide, rédigé en 2022, offre une marche à suivre en amont d’un projet de scénographie ainsi qu’une liste des structures locales qui offrent des solutions de mutualisation, de prêt ou de location de matériel, ou de ventes de matériaux de seconde main.
Cette liste est amenée à évoluer, en fonction des nouvelles initiatives mises en œuvre, dans cette recherche constante et nécessaire de pratiques toujours plus durables. Pour tout ajout de nouvelles initiatives pertinentes à partager sur cette page, merci de contacter le SEC (Sarah Margot, @email).
Exemples d'actions en matière de consommation des biens et services
- Privilégier la location à l’achat pour le matériel à obsolescence rapide ou de courte durée d’utilisation via des plateformes telles Stock-en scene, et d'autres initiatives à venir.
- Mutualiser au maximum les équipements et ressources, avec d'autres structures similaires à la sienne.
- Dans le cadre d'un achat de matériel ou de prestation, privilégier les achats et mandats locaux.
- Mettre en place des circuits internes de réemploi des matériaux (type www.materiuum.ch).
- S’appuyer sur un réseau de partenaires locaux pour la redistribution et le recyclage des matériaux et équipements et favoriser l’économie circulaire.
- Travailler avec des prestataires écoresponsables pour concevoir des expositions et des scénographies à faible empreinte environnementale.
Bien que le numérique offre des solutions innovantes, il s’avère lourd de conséquences sur l’environnement. Le secteur représente 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES), et ce chiffre croît de manière exponentielle. De leur fabrication à leur fin de vie, les objets connectés ont un impact sur l'environnement: les 80% de l'impact sont générés au moment de leur fabrication, et 20% pour leur utilisation.
Les sociétés deviennent de plus en plus numériques, avec des services et des contenus en ligne disponibles et consommés en permanence. Pour minimiser cet impact environnemental, il est nécessaire de prolonger au maximum la vie des appareils et d’éviter une surproduction inutile de contenus numériques.
La Ville de Genève s’engage dans des initiatives de sensibilisation visant à faire adopter de bonnes pratiques et les applique au sein de son administration. Elle s’assure que les données personnelles des usagères et usagers sont traitées de manière sécurisée et transparente. Elle informe les habitant-e-s des dangers potentiels de l'utilisation d'Internet et les encourage à utiliser les outils numériques de manière responsable.
Exemples d'actions en matière de numérique responsable
- Eviter d'acheter du matériel neuf lorsque c'est possible.
- Prolonger la durée de vie des équipements informatiques et numériques et favoriser leur seconde vie.
- Effacer les données inutiles ou à double en commençant par les plus lourdes.
- Favoriser la sobriété numérique en évitant de démultiplier les espaces de stockage.
- Limiter la création et l’usage de vidéos, et adapter leur résolution aux types d’écrans utilisés (attention, la vidéo représente 62 % du trafic Internet!)
Pour la revalorisation des ordinateurs déclassés, faire appel à des associations comme Réalise ou plus récemment Itopie.
Pour la revalorisation et la déconstruction-recyclage des téléphones portables et tablettes, faire appel à l’association No obsolescence programmée (NoOPS). La Ville de Genève participe à cette démarche en mettant à disposition des boîtes de récoltes, notamment dans les Bibliothèques municipales.
> Consulter le Guide des bonnes pratiques du numérique de la Ville de Genève
La production de déchets en Suisse est l’une des plus élevées au monde, mais la Suisse est aussi devenue une championne du tri. Son taux de recyclage a doublé en une trentaine d’années passant de 25% à 53% en 2019. Le tri permet de réduire la part de déchets incinérés.
Dans le canton de Genève, le tri des déchets est obligatoire pour toutes et tous: ménages, entreprises, établissements publics autonomes et collectivités publiques. L'objectif du canton est de réduire les déchets incinérables de 25 % d'ici 2025 et d'atteindre 80% de tri des déchets valorisables, pour créer de nouvelles ressources.
Pour les déchets urbains des théâtres ou les lieux culturels :
En Ville de Genève, et depuis le 1er février 2024, la collecte des déchets des entreprises et organisations est assurée par la Voirie contre facturation. Toute entreprise de 1 à 249 ETP peut faire appel à la Voirie pour collecter ses déchets urbains. Noter que la collecte des déchets recyclables est gratuite (papier-carton et déchets organiques de cuisine) et les écopoints restent accessibles à toutes les entreprises (verre, PET, aluminium/fer blanc, piles, capsules à café).
> Consulter la page sur la collecte et facturation des déchets urbains des entreprises
Exemples d'actions en matière de gestion des déchets
- Éviter les déchets à la source en privilégiant des équipements et matériaux réutilisables, ou loués.
- Privilégier les conditionnements de grande contenance (cubi ou jerricans, caisses, vrac) et éviter le suremballage.
- Trier plutôt que jeter.
- Respecter le bannissement des plastiques à usage unique pour les activités autorisées sur le domaine public (entrée en vigueur au 1er janvier 2020).
- Utiliser de la vaisselle réutilisable pour les activités autorisées sur le domaine public (obligatoire au 1er avril 2024).
> Consulter le le Guide pour l’utilisation de vaisselle réutilisable à l’intention des organisateurs et organisatrices de manifestations (canton de Genève)
Intégrer l'ensemble de ses équipes dès le début du processus de transition environnementale est essentiel, afin que les démarches soient comprises et pouvoir bénéficier de la participation de chacun-e. Faire savoir à ses équipes, aux partenaires et au public l’engagement environnemental et social de son institution ou de son association, renforce son image, valorise les efforts effectués et participe de la mobilisation grandissante.
De plus, à mesure que les attentes d’un public toujours plus sensible aux questions de durabilité grandissent, communiquer sur son engagement et ses valeurs permet de susciter une forme d’adhésion et donne du sens à ses démarches vertueuses.
Exemples d'actions en matière de mobilisation et de transparence
- Communiquer sur les pratiques mises en place et les expériences rencontrées par le biais de rapports d'activités mais aussi sur ses différents canaux d'information au public.
- Partager les bonnes pratiques avec les autres acteurs, actrices et institutions du domaine culturel.
- Valoriser les politiques de responsabilité sociétale des organisations (RSO) dans la politique des Ressources humaines. La RSO est la contribution volontaire des organisations et structures au développement durable. Autrement dit, il s’agit de tout ce qui est mis en place pour améliorer son environnement et limiter ses impacts négatifs sur la société (conditions de travail, santé, droits fondamentaux, environnement).
- Proposer des rencontres et des moments d’échanges sur des questions thématiques liées à la durabilité, pour un changement profond de paradigme à plus long terme.
- Développer des synergies avec d’autres actrices et acteurs du domaine culturel pour mutualiser ses actions.
Etablir un bilan intermédiaire et un plan d’action
A la fin d’un projet, une analyse des conséquences positives et négatives des mesures mises en place doit permettre de faire un bilan.
Cette étape permet de tirer des enseignements précieux pour faire perdurer le projet ou l’initiative, l’améliorer ou le cas échéant l’abandonner lorsqu’il ne participe pas à la transition climatique et environnementale de son activité.
Ce bilan sera présenté au moment de l’évaluation de la convention, assorti d’un plan d’action.
- Cirkla: organisation faîtière qui relie tous les acteur-ice-s du réemploi, organisations, entreprises et privés, afin de rendre la scène du réemploi plus visible et plus performante.
- Après Genève: le réseau de l’économie sociale et solidaire genevois. Ce réseau contribue à faire de l’économie un levier majeur de transition vers une société respectueuse de l’humain et de la biosphère. Il fédère les actrices et acteurs de la transition écologique et sociale qui invente au quotidien des pratiques innovantes et concrètes pour transformer l’économie.
- Charte des artistes, acteurs et actrices culturelles pour le climat: «Nous soussignés et soussignées, artistes, acteurs et actrices culturelles de tous les domaines, prenons acte de cet état d'urgence climatique et nous engageons à orienter nos activités afin de réduire immédiatement, et de façon radicale, leur impact sur l'environnement et le climat.»
- COAL: une Coalition pour une écologie culturelle qui mobilise les artistes et les acteurs et actrices culturel-le-s sur les enjeux sociaux et environnementaux et accompagne l’émergence d’une nouvelle culture de l’écologie à travers ses actions tel que le prix COAL, les commissariats d’exposition, le conseil aux institutions et collectivités, la coopération européenne, et l’animation de conférences, d’ateliers.
- ACT - Art Climate Transition: réseau européen initié par 10 structures culturelles européennes, travaillant dans le champ de la performance et des arts visuels. Soutenu par Programme Européen de Création de l’Union Européenne. Projet de coopération sur l’écologie, le changement climatique et la transition sociale.
- Le manifeste pour un théâtre responsable: un manifeste pensé et construit par le milieu culturel et auquel tout le monde est invité à contribuer et à s’engager si vous désirez vous engager artistiquement et écologiquement.
Article modifié le 19.12.2024 à 17:22