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La réponse a été mise à jour le 12 avril 2024.
Bonjour,
Nous vous remercions d'avoir fait appel au service Interroge, voici le résultat de nos recherches :
Dans l’ouvrage Histoire et guide des cimetières genevois de Suzanne Kathari et Natalie Rilliet, nous lisons ce qui suit au sujet de Carouge et de son cimetière :
« Place Sigismond, [fondation] 1854
Dans les années 1845-1850, la nécessité d’agrandir le cimetière catholique de 1778 devint urgente. La ville de Carouge discuta alors de plusieurs solutions d’agrandissement sur l’un ou l’autre de ses côtés. Mais aucun des pourparlers n’aboutit et les autorités cherchèrent un autre terrain qu’ils trouvèrent en la propriété de Jean-Etienne Brocher, au Val-d’Arve. Le cimetière actuel fut alors créé sur cette nouvelle parcelle de 1853 à 1854.
Le terrain se présentait déjà comme un rectangle, bien qu’il ait été agrandi sur son côté à plusieurs reprises pour lui donner l’aspect plus long que nous lui connaissons aujourd’hui. »
Vous en apprendrez plus sur ce cimetière jusqu’à nos jours en continuant la lecture de cet article.
Dans l’ouvrage dirigé par Jean M. Marquis – Urbanisme et Architecture à Carouge – vous trouverez aussi les historiques très complets des cimetières de Carouge (le cimetière juif et le cimetière catholique).
Dans le Journal de Genève du 9 décembre 1853, nous lisons, dans la rubrique Faits divers, que « la ville de Carouge vient de créer un nouveau cimetière. Le Conseil municipal a pris à ce sujet une décision importante, c'est que le cimetière de Carouge serait ouvert indistinctement aux catholiques comme aux protestants et que les fosses suivraient le rang de la mortalité. [...] »
Nous espérons que ces éléments vous aideront dans votre recherche. N'hésitez pas à nous recontacter pour tout complément d'information ou toute autre question.
Cordialement,
La Bibliothèque de Genève
Pour www.interroge.ch